A Copenhague, les Vingt‑sept ont cherché à intensifier l’“Europe de la défense” dans un contexte marqué par des menaces hybrides, notamment des incursions de drones. Cette pression souligne le besoin urgent d’une coordination militaire et d’un renforcement des capacités européennes.
- L’enjeu est de bâtir des structures stratégiques communes pour répondre aux défis sécuritaires contemporains.
- Cependant, en Hongrie, la majorité de l’opinion refuse de percevoir la Russie comme une menace.
- Le Premier ministre Viktor Orban affiche une position de non‑alignement vis‑à‑vis du conflit en Ukraine, prônant un rôle neutre.
- Cette posture est cohérente avec un discours public tourné vers la protection du pays, malgré un appareil militaire visible et actif dans le paysage national.
- Malgré les difficultés à faire consensus, face aux oppositions hongroises et slovaques, la majorité des Etats membres estime cependant qu’il faut durcir le ton.
- Après avoir déclaré que “rien n’est exclu” en termes de ripostes le président français a aussi annoncé avoir arraisonné un navire au large de la France, soupçonné de faire partie de la flotte fantôme russe
- Plus précisément, des navires russes sous un pavillon et un équipage étranger, permettant à la Russie de pouvoir vendre ses hydrocarbures et contourner les sanctions.
- Le navire en question est surtout soupçonné d’avoir participé aux lancements des drones ayant survolé le Danemark.