GOGOL

C’était la face cachée des “accords” de Turnbury (EIH 25/8/25 et bis) : les relations entre l’UE et l’administration Trump sont particulièrement mauvaises – aussi – à cause de la législation européenne qui cherche à encadrer l’activité des géants de la tech sur le sol européen – le premier marché pour Facebook, X et autres services numériques.  

  • Il estime que ces règles imposent des coûts excessifs, restreignent la liberté d’expression et donnent un avantage injuste aux acteurs européens.  
  • Il menace de représailles : tarifs douaniers, restrictions à l’exportation, voire sanctions contre les responsables politiques européens.  
  • Elle souligne que ses lois s’appliquent de façon non-discriminatoire à tous les opérateurs (quelle que soit leur origine). 
  • Et ce,  dans le respect de ses valeurs démocratiques et en vertu d’une interprétation rigoureuse de l’Etat de droit.